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L’angoisse est la principale source créative qui, telle une aura, engage le processus de représentation du Chat-Vache.
Tout être passé par les affres de cette déliquescence de l’âme intègre une représentation personnelle de l’animal.
C’est la mise à distance de la souffrance engendrée par l’angoisse qui assoit la possibilité de représentation, comme sublimation de la douleur causée, au travers d’un acte créateur.
La détermination acquise entre la torpeur et la fébrilité offre l’accession au caractère de la représentation du Chat-Vache, où il obtient son statut d’idéal.
Le Chat-Vache réalisé provoque alors émoi, apaisement, et sérénité. Il est un aboutissement contemplatif.
LCF
Le 15 mai : Chat-Vache et Défi
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